Classement

Quelle que en soit la valeur que chacun veut en donner, ces classements sont basés sur des données  médicales et administratives, adressées de façon anonyme et obligatoire aux caisses d’assurance maladie
Ils permettent de se positionner dans le cadre de la qualité de la prise en charge des pathologies chirurgicales aussi bien sur le plan régional et national
Méthodologie
Pour établir notre palmarès exclusif des hôpitaux et des cliniques, nous avons analysé les données issues du Programme de Médicalisation des Systèmes d’Information (PMSI) qui rassemble tous les séjours et les actes hospitaliers pris en charge en 2010, soit 23 millions de dossiers provenant de plus de 1 500 établissements. La note globale résulte de la combinaison d’une dizaine d’indicateurs, dont :Volume d’activité : nombre de séjours et coût des soins, selon une tarification unique par groupe homogène de séjours (GHS);
Notoriété : part des malades venant d’une autre région ou d’un transfert en provenance d’autres établissements de court séjour;
Technicité : appréciée selon le niveau de ressources consommées (équipements, personnels, etc.);
Part de l’ambulatoire : pourcentage de malades hospitalisés moins de quarante-huit heures. Les établissements les plus organisés assurent ce type de prise en charge dans la journée;
Part de la chirurgie : pourcentage de chirurgie dans la prise en charge globale au sein de la spécialité;
Part de la coelioscopie : fréquence des interventions chirurgicales se réalisant à travers de petites incisions et grâce à des instruments miniatures.
Durée moyenne de séjour (DMS) : calculée pour les séjours réalisés en hospitalisation complète (HC);
– Diversité : éventail de cas traités au sein d’une spécialité, qui dépend aussi de la présence de polypathologie (patients présentant plusieurs affections);
– Mortalité hospitalière : contribue à la note finale uniquement dans le cas des spécialités où le risque de décès est important.